Le coeur geler (libre)

Et j'avais froid. Terriblement froid. Le vent secouait sans pitié les pauvres rubans de ma robe préféré. Pas chaude du tout c'elle-ci. Ma peau était rose même rouge brulante a cause de ce froid, mordant, pas agérable du tout. Et j'aurais tout donner pour me recroqueviller dans un nid douillet, près d'un foyer, avec mon père pour me raconter une histoire. La rapière était devenu extremement lourde dans mon dos, déjà trop grande pour moi, elle m'écrasait de tout son poid du a la fatigue qui m'accablait. Du haut de mes 7 ans, tout ce que je desirais était dormis, fermer les yeux, apres un bon repas chaud. Je m'étais égaré, j'avais marché et marché, des familles avaient croiser mon chemin et avait voulu me garder. Cependant malgré leur bienveillance, mon coeur s'était serré a chaque tentative de rapprochement. ce n'était pas mon pere! je voulais mon pere! Et les larmes coulèrent donc a flot.


Mes jambes ne me portaient plus. Et je tomba a genoux dans cet epais bandc de neige. Finalement je fis ce que tout enfant faisait lorsque la faim, la peine, la solitude et la fatigue les épuisaient. Je pleura.

Je n'avais même plus la force de sangloter très fort, le vent rugissait plus fort que moi. Je criais le nom de mon père. Mais rien nada. Il m'avait donc abandonner, il était vraiment partit? Je ne le reverrai plus jamais... Je jetta donc Bloodyrosa devant moi, dedaigneuse, en colère, mes petits poings douloureux, serrer de colère. Le bout de mes droles d'oreilles pendantes étaient geler, mes cheveux tout autant et mes yeux normalemnt violet etaient maintenant bleu de chagrin. Tel un petit chat je me recroquevilla ap`res ma crise, dans cette neige glacé, mais mon corps ne la sentait presque plus désormais. Plustard je sut que c'était les symptomes d'hypotermie, mais a mon très jeune âge, je l'ignorais toujours. Mes larmes glacaient dès qu'elles s'échappaient, je ferma les réservoirs comem pour m'endormir. J'étais epusier, fatiguer.

- C'est pas juste..
murmurais-je entre deux sanglots.
- C'est pas juste...

La justice n'existait pas, je le savais après tout. Mon père me l'avait démontré plusieurs fois, en echarpant une servante du palais a qui je portais de l'affection ou noyant un chaton que je portais dans mon coeur. Même si ces actes avaient étét horrible. Je savais qu'ils avaient étét comis pour me protéger, pour en pas s'en prendre a moi directement...car aimer était tellement difficil pour quelqu'un comme lui...

Je serra conr emon corps ma peluche qui ne me quitait jamais, raide elle était, humide et froide. Mais malgré l'inconfrto elle me rapportait une vague consolation, comme un souvenir de sécuritée, de bien être. Je m'y accrochait de toute mes forces avec mes faibles bras et le peu d'énergie me restant. Shola était un royaume abandonné, il y avait peu de chance que quelqu'un me trouve ici. Je l'gnorais alors, car je ne savais même pas ou j'étais, j'avais seulement continuer en ligne droite...le cherchant LUI, en vain. Et pour la première fois de ma vie, je regretta alors ne pas savoir qui était ma mère, ou encore mon vrai père. Je revais de bras d'étranger, chaud et sécurisant, me rpenant contre leur poitrine et me bercant apres un verre de lait chaud. Je revais...car finalement le froid sembla me vaincre, et je m'endormis.